Albert de Monaco, souverain de la principauté, aurait décidé d’écarter un confident essentiel de Charlène de Monaco, avec l’aval de la princesse Caroline, révèle le magazine Bunte. La Principauté semble être en pleine tempête, et le prince Albert, à l’âge de 65 ans, traverse sans doute la crise la plus grave de son règne.
« Opération Mains Propres » : un changement radical dans l’administration du Palais
Suite à des accusations de corruption, il a initié ce qu’il appelle une opération « mains propres », en se séparant de collaborateurs de confiance. Lors d’une interview donnée au journal « Le Figaro », il a justifié cette mesure radicale, déclarant : « Si la confiance est rompue et que mes questions ne trouvent pas de réponse claire, il faut prendre des décisions ».
« Mon rôle est de protéger les institutions de la principauté », a-t-il ajouté, d’après les informations de Bunte, qui lui consacre la une de sa dernière édition. Un affront sévère pour Charlène de Monaco.
Un sujet de conversation entre frères et sœurs
Le prince Albert aurait discuté de la situation avec ses sœurs, Caroline et Stéphanie de Monaco. Cependant, de façon curieuse, aucun mot n’a été prononcé au sujet de Charlène (45 ans) dans ce contexte. « Quel désarroi pour sa femme. Pourquoi lui inflige-t-il cela ? », se demande l’hebdomadaire.
La mise à l’écart d’un collaborateur de confiance
Il s’agit du licenciement de l’administrateur des Biens du prince Albert II, Claude Palmero, qui était embourbé dans l’affaire des Dossiers du Rocher. Il a quitté son bureau au Palais princier le 12 juin dernier. Cette décision aurait été validée par Caroline de Monaco, la sœur du prince.
En juin dernier, Claude Palmero a été relevé de ses fonctions par une lettre envoyée par le prince Albert II. Les Carabiniers du Prince l’auraient assisté pour vider ses cartons, puisqu’il devait quitter son bureau immédiatement. Il aurait continué à gérer les affaires courantes en télétravail jusqu’à la fin définitive de ses fonctions. C’était le 12 juin dernier, date à laquelle il a pris sa retraite, précisément le 6 juillet, jour de son 67e anniversaire.
Une tension persistante et des interrogations sur l’avenir
La situation reste tendue dans la Principauté, et « l’avenir de Charlène et de la famille princière suscite de nombreuses interrogations ».