La rivalité entre Michel Sardou et Claude François a été l’un des plus grands conflits de la chanson française. Malgré leurs différences de styles, les deux artistes se sont toujours considérés comme des concurrents directs. Leur rivalité a atteint son point culminant en 1976, lorsque Michel Sardou a lancé son propre magazine, M.S. Magazine, pour concurrencer Podium, le magazine de Claude François. Cette aventure a cependant été un échec pour Michel Sardou, qui a investi beaucoup d’argent dans cette entreprise sans récupérer ses pertes.
Une rivalité musicale
Michel Sardou et Claude François ont toujours été vus comme des concurrents directs, malgré leurs différences de styles. Les deux artistes ont été en compétition l’un contre l’autre tout au long de leur carrière, mais cette rivalité a atteint son point culminant en 1976, lorsque Michel Sardou a lancé son propre magazine pour concurrencer Podium, le magazine de Claude François.
L’échec de Michel Sardou
Malheureusement pour Michel Sardou, son magazine M.S. Magazine n’a pas été un succès. Le magazine n’a pas réussi à vendre autant que son concurrent Podium, et s’est finalement arrêté après seulement cinq mois. Sophie Girault dans son livre Michel Sardou : Biographie intime, décrit cela comme un lamentable échec qui a coûté beaucoup d’argent à Michel Sardou. Il aurait investi plus de deux millions et demi de francs dans son aventure de presse sans récupérer ses pertes.
La rivalité entre Michel Sardou et Claude François a été l’une des plus grandes de la chanson française. Cependant, en 1976, cette rivalité a dépassé le domaine musical lorsque Michel Sardou a décidé de lancer son propre magazine, M.S. Magazine, pour concurrencer Podium, le magazine de Claude François. Malheureusement pour Michel Sardou, son magazine n’a pas réussi à vendre autant que son concurrent et s’est finalement arrêté après seulement cinq mois, causant des pertes importantes pour le chanteur. Cet épisode montre comment les rivalités peuvent devenir coûteuses et comment il est important de savoir se retirer d’une situation avant qu’il ne soit trop tard.
